Des fermes à la verti­cale

En général, ces cultures ne prennent pas racine dans la terre mais dans des substrats, orga­niques ou non-orga­niques.

Ces concepts “high-tech” requièrent des pompes, des réser­voirs, des systèmes de venti­la­tion, des quan­tités impres­sion­nantes de LED... ils ont donc l’inconvénient d’être très gour­mands en énergie.

Capteurs et caméras surveillent l’irrigation, les niveaux de nutri­ments, l’humidité et la tempé­ra­ture ambiantes. Certaines des inno­va­tions réali­sées dans ce domaine pour­raient aussi profiter à l’agriculture tradi­tion­nelle.

Ces systèmes ciblent géné­ra­le­ment la produc­tion de salades, d’herbes aroma­tiques, ou encore de plantes phar­ma­ceu­tiques.

La plupart des modèles d’agriculture urbaine impliquent de faire pousser les plantes en rayons super­posés pour mieux utiliser l’espace.

L’agriculture verti­cale se veut économe en eau : celle-ci est récu­pérée, traitée et réuti­lisée.